J’avais acheté à Guizeh, il y a bien des années, une grande feuille de papyrus.
Et je ne voyais pas comment m’en servir.
Partie sur les traces du Fayoum, j’ai tenté le portrait sur papyrus.
Une sensation subtile, délicate, agréable.
Zut! Il ne m’en reste pas beaucoup, il va falloir y retourner!