Une âme de trop de Brigitte Aubert

Polar, qui penche du côté du Psychose d'Hitchkock.

Les meurtres abominables s'enchaînent dans l'hôpital où travaille Elvira. Mais elle n'est au courant que par oui dire, puisqu'elle est en congé maladie : agoraphobie, burn out?

Trois femmes sont tuées, et Elvira se rend compte qu'elle a le même type physique que ces femmes.

Elle chatte sur internet, avec Ray, qui voudrait la voir en vrai, avec Latinlover qui lui envoie des messages horribles, et avec Katwoman qui écrit une langue tout à fait étrange.

Son voisin du dessus, et aussi propriétaire, Steven, travaille beaucoup, n'est pas souvent là.

Elle poursuit son enquête depuis son appartement, se lance dans des réflexions qu'elle transmet aux policiers, lesquels ont tendance à l'envoyer un peu sur les roses. Elle passe son temps à boire, prendre des médicaments et des bains, se refaire une beauté...

La fin est plus que surprenante, car même si on pensait bien que l'assassin c'était lui....