L'année du volcan de Jean-François Parot.

On aimerait que Jean-François Parot écrive plus de récits concernant Nicolas Le Floch, mais le plaisir de l'attente du suivant...

Cette fois, c'est dans l'atmosphère irrespirable et ténébreuse de poussières venues d'un volcan en Islande ( si, si, en 1783) Que Nicolas doit se pencher sur la mort du Vicomte de Trabard, dans le box d'un de ses étalons, tué par son cheval.

Le problème, c'est que la Reine elle-même a lancé le commissaire sur cette enquête. Pourquoi? Comment en a-t'elle été informée? Par qui? Pourquoi est-elle concernée?

Nicolas va donc découvrir un trafic de fausse-monnaie, des ramifications étranges, la présence de Cagliostro.

Il va se rendre en Angleterre et faillir y perdre la vie.

Et toujours, le plaisir de retrouver les personnages qui l'entourent de leur amour et de leur amitié, leurs repas dans les auberges ou à la table de M.de Noblecourt.

Le 18° siècle comme si l'on y était...Et on sent que la révolution gronde dans le peuple et la bourgeoisie. Même cet aristocrate de marquis de Ranreuil commence à se poser des questions!