25 janvier 2020
Je voudrais que quelqu'un m'attende quelque part de Arnaud Viard
Amis du mélo, soyez les bienvenus dans cette histoire qui reste toujours à la surface des choses, des relations entre les êtres humains.
C'est bien dommage pour les acteurs qui sont excellents et qui, parfois pourraient nous amener à être émus.
Mais ça ne marche pas...on reste extérieurs à cette famille où la solitude du fils aîné est patente depuis le début. Tellement qu'on s'attend à ce qu'il va faire. Et ensuite, ses proches utilisent cet acte pour devenir eux mêmes! Une forme de vampirisme post mortem!
Et il faudrait dire une bonne fois pour toutes à Elsa Zylberstein, qu'à force d'opérations, elle finit par ressembler à Adjani...Mais c'est peut-être le but?
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