13 septembre 2009
Le cadavre anglais de Jean François Parot
Chacune des aventures de Nicolas Le FLoch se déguste comme les plats qui font la joie des convives dans le livre..( à quand un vrai livre de recettes, Monsieur l'Ambassadeur?).
Bref, c'est un plaisir gourmand, de tous les sens éveillés. Les odeurs, parfums et pourritures, la vue, les rues de Paris en ce 18°siècle au bord du gouffre, les sons, le toucher, la sensualité des rencontres, et le goût, qui nous fait saliver d'envie.
Bref, ce n'est pas tant l'intrigue qui nous fait aimer ces livres, encore qu'elles soient fort bien menées, et toujours, on ne découvre les coupables qu'à la fin, mais c'est surtout cette plongée dans ce siècle des Lumières qui commence justement par une panne de réverbère...
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